Des garçons, pas des hommes
J’avais déjà remarqué ce léger travers, auparavant. Peut-être que l’on attrape ce tic de langage comme une maladie. Peut-être que l’on prend cette maladie comme une sale habitude. A force de l’entendre dans la bouche des autres. A force de l’entendre, de se le voir asséné comme une série de coups de poing. Les homos sont « des garçons », pas des hommes.