Alors, jeune ? Remis de cette séance de sexe sur la banquette arrière, la semaine passée ? Tu vois, l’Australie, ce n’est pas que la supériorité au rugby (certes disputée avec la Nouvelle-Zélande) et cette pisse d’âne qu’est la Foster. Mais Iggy t’a laissé sur ta faim, faut dire que tu es parti bien vite. Tu verras, avec l’âge, tu apprendras qu’il faut prendre son temps et soin de sa partenaire.
Ça tombe vachement bien, en fait, puisque c’est ce que Kylie te propose avec ce Sexercize. Quoi ? Tu oses demander ? « Kylie qui ? » Putain, faut tout reprendre du début. Kylie, c’est par elle que tout a débuté. Révélée par une série télé des années 80, alors qu’elle n’est pas vraiment majeure, elle gagne sa crédibilité en sortant avec le futur suicidé chanteur d’INXS (star rock crédible dans les 80s, c’est dire le drame que j’ai vécu) puis – surtout – en assumant un duo exceptionnel – et tout sauf sexe – avec Nick Cave.
Elle réapparaît, après une éclipse, à la fin de la décennie célébrée par Arte en ce moment en version ultra sexuée, assumant une plastique que tous les quadragénaires – dont ta mère – envieraient la perfection, bandante comme pas deux et… icône gay incontestable. Une ligne de lingerie sexy et une rémission de cancer plus tard, elle est toujours là, Kylie, avec son sourire à se damner, ses yeux dans lesquels je veux me noyer, ses courbes toujours aussi parfaite.
Probablement que la recette de cette forme inoxydable, ce sont ces Sexercizes répétés dont elle te vante les mérites sur une musique parfaite pour ne pas faire des enfants mais revisiter l’anatomie humaine, des orteils jusqu’à la pointe des cheveux. En tous cas, la miss, cougar avant la lettre, a séduit un paquet de petits jeunes. Et ce n’est certainement pas fini.
Ah, je reconnais… C’est moins trash que d’habitude. Mais, mec ! C’est Kylie ! Respect quoi !
Sinon, en version alternative, y a ça :
Cerebral Ballzy « Be Your Toy ». Parce que, même pas en secret, on (je) rêve tous d’être le jouet de Kylie. Ose dire que non !