Sodome et Gomorrhe

Kinky summer sounds part 3 : Estelle t’appelle

140716 KSS 3 EstelleOh gars ! Calme le jeu. Je vois bien qu’après ces deux premières sorties de route, tu es un peu perturbé. Ces femmes de pouvoir qui veulent prendre le contrôle, ça te perturbe, n’est-ce pas, jeune ? Alors, je vais accéder à ta demande en convoquant Estelle, jeune prodige britannique, pas forcément connue pour son côté sextraverti. Encore que

Ecoute ce titre dépouillé de ses parements et autres fanfreluches. Une ligne de basse, une rythmique, quelques chœurs masculins en arrière-plan, un track épuré sur lequel Estelle susurre. Susurre une invite, finalement, pas si discrète :

« Shall I call you daddy?
Shall I call your name?
You can fuck me again babe
But never the same
(…)
Make my pussy say (eeeh eeeeh eeeh oh)”

Oups… Qui t’a dit que j’allais être réglo et calmer le tempo ? Alors, imagine ce titre joué bien fort, au Quartz, la discothèque du patelin d’à côté ? Tu t’y vois ? Tu devins ce corps de liane qui s’enroule autour de la barre de pole dance ? C’est ça, tu y es. Et tu vas même sortir les billets pour que ça dure une éternité.

En l’espèce, Estelle se la joue sirène et ça lui va bien. Et toi, tu ressembles à Quentin Tarantino quand il a le pied de Salma Hayek dans la bouche, au Titty Twister.

Sinon, extrait de la playlist alternative y a ça:

The Bravery « Hatefuck »

 

Parce que ce refrain, « There will be no tenderness”, si ce n’est pas la réponse à l’appel d’Estelle… Comment te dire ça, gentiment ???

Nathanaël Uhl

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